Mais non ce n'est pas un poisson d'avril, c'est vrai Bastille a été pris un 1er avril, notre minou qui était depuis si longtemps à la clinique vétérinaire (8 mois), vient d'être adopté par Elisa.

L'histoire de Bastille, est peu commune, amené un 14 juillet par les pompiers dans une clinique vétérinaire d'Angers, blessé, il a été soigné et a conquis tout le personnel de la clinique. Ce chat est un amour, mais voilà, personne ne voulait de lui, personne ne voulait l'adopter car il était FiV+ (positif au sida du chat). Déjà que les humains ont peur de ce mot pour eux, alors imaginez pour un chat !!!!

Bastille attendait depuis longtemps là-bas, quand j'ai eu connaissance de son histoire, je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose pour lui et j'ai fait un appel sur notre site.

Elisa a lu son histoire et ça l'a ému, elle qui venait de perdre sa petite Cracotte, elle s'est dit que si personne ne voulait de Bastille, elle allait le prendre chez elle en famille d'accueil. Mais quand je suis arrivée, elle m'a dit tout de suite, "non, pas famille d'accueil, je veux l'adopter".

Tout d'abord je voulais dire un grand merci à toute l'équipe qui s'est occupée de Bastille pendant ces longs mois, le voilà avec Audrey devant sa cage où il a passé la plupart de son temps, même s'il avait la chatterie pour lui tout seul le we,

et avec une partie du personnel. Tout le monde lui a fait de gros câlins et m'a fait milles recommandations, je sais qu'il va leur manquer, mais il démarre une autre vie avec Elisa, pleine d'amour et de tendresse, pour de longues années de vie à deux.

Et maintenant un grand merci, du fond du coeur à Elisa pour son adoption.

Et voilà en photo notre Bastille, pas plus effrayé que ça à son arrivée chez Elisa, la première chose qu'il a fait c'est aller manger des croquettes puis s'est enfilé la quasi totalité de la gamelle de pâtée. Monsieur a commencé à donner des coups de tête et à chercher des câlins de sa maman.

Et puis ensuite une mise en confiance avec une séance câlins pour se détendre complètement sur les genoux d'Elisa.